Les punitions sont inséparables de l’éducation, notamment pour les enfants en bas âge. Mais même si papis et mamies ont attaché aux anciennes méthodes, et que certains parents acceptent bien volontiers que ce sont ces anciennes punitions qui ont fait leur réussite actuelle, les choses oint évolués depuis quelques années. Focus sur les interdits et les punitions possibles de nos jours.
Plus de préjudices corporels
La loi a commencé par interdire les préjudices corporels à l’école. Mais les enseignants ne sont plus les seuls à ne plus avoir le droit de maltraiter physiquement les enfants pour quelques raisons que ce soit. Les parents non plus ne peuvent frapper ou pincer ou faire quelques autres mauvais traitements envers leur enfant.
Dans le cas où des moins assisteraient à la scène, les risques seraient gros. Vous risquez de perdre la garde de votre enfant pour cause de maltraitance, et ce, même si le but était simplement de l’éduquer.
Cette loi n’est pas totalement grossière. Elle permet notamment de mieux protéger les enfants qui vivent dans un climat de violence. Et c’est d’ailleurs son but premier.
Les nouvelles techniques de punition moderne
Pour compenser le manque de préjudice corporel, les parents ont dû faire preuve d’ingéniosité pour inciter les petits à tenir compte de la graviter de leur acte. Voici quelques exemples des nouvelles techniques de punition moderne.
La privation est celle la plus usitée. Vous leur privée de leurs jouets, de leur dessert, ou de quelques choses auxquels ils tiennent pendant un laps de temps limité. Cela leur permettra de se sentir lésés et de refaire la rétrospective des actions qui se sont passées.
Le coin est aussi une autre alternative. Des parents font usage de cette punition depuis des années. Le but est d’isoler l’enfant dans un coin de la pièce ou de la maison pour qu’ils puissent réfléchir à leurs actes. Cette technique fonctionne aussi avec une pièce ou une chambre. Le tout est de pouvoir les maintenir sur place et de tenir bon malgré les larmes et les cris.
Bien gérer une punition
L’efficacité d’une punition ne dépend pas uniquement de sa durée ou du ton employé. Il faut prendre le temps d’expliquer les choses à l’enfant pour leur faire comprendre pourquoi ils ont été punis, le tout calmement.
Attention, évitez les pièges comme « on te punit pour ne plus que tu recommences ». Ce n’est pas une raison valable. La punition doit servir à responsabiliser l’enfant et à lui permettre de comprendre que tel ou tel acte n’est pas bien.
Par ailleurs, la punition ne doit pas juste être une menace. Elle doit être exécutée et augmenter en fonction de la gravité de la situation. Et quand vous décidez de punir, les deux parents doivent être en accord avec la punition à affliger.